8 avril 2006
Libre...
Je le serais à jamais dans mes songes,
Je le suis aprés tous tes mensonges,
Malheureusement cette maladie te ronge
Et ces dans ses eaux troubles que tu replonges.
Comprendras tu un jour à quel point je te hais?
Tu as brisé les chaînes qui nous liaient.
Un triste tas de cendres laissé sur un quai,
Voilà tout ce qu'il reste de ce dialogue muet.
A présent libérée de tes faux sentiments,
Je séme ces cendres au quatre coins du vent,
Et comme dans une machine à remonter le temps,
Je reconstruis mon Empire sur les ruines d'antant.
Les arbres laissent enfin pénétrer la lumière
Dans cette obscurité dont jétait prisonnière.
Maintenant s'ouvre à moi un inépuisable désert,
Un nouveau départ dont je dois être fière.
Claire HOoDOo
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